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Le jeudi 6 novembre, dans le cadre du Festival Karavel escale Clermont-Ferrand (anciennement Festival des Trans’Urbaines), les élèves des classes de première et deuxième année de CAP, de 3^ème Prépa. Métiers, et la classe de seconde ASSP se sont rendus à la Maison de la culture pour assister à un spectacle de danse, «Boxe boxe Brasil» de la Compagnie Käfig. Spectacle détonant qui vit le quatuor à cordes Debussy partager la scène avec des danseurs hip-hop brésiliens pour jouer sur les contrastes et les similitudes entre danses, boxe et musique classique.

Ce métissage des genres est un véritable challenge chorégraphique, et ce spectacle, à un rythme effréné, démontre la force de la danse à dépasser les frontières et envoie valser dans les cordes du ring tous les préjugés !

Mercredi 5 février, 183 élèves de notre établissement ont assisté à la projection scolaire du festival du Court métrage de Clermont-Fd. Les sept films programmés mirent l’accent sur des thèmes d’actualité tels que la difficulté de communiquer au sein d’une famille (« Les mots qui manquent », « Blanche »), la puissance des réseaux sociaux (« Mort d’un acteur »), l’antisémitisme (« Papillon), les angoisses quotidiennes d’un couple libanais confronté à la guerre (« What if they bomb here tonight ? ») et l’incontournable IA, l’Intelligence Artificielle qui, dans le film « Ni dieu ni père », aide un orphelin à combler l’absence de père, du réalisateur Paul Kermarec. Cette année encore, la sélection a comblé une grande majorité des spectateurs.

Les élèves des classes de 1ère MCV, Accueil et ASSP se sont rendus au cinéma le Rio pour la deuxième séance du dispositif « Lycéens au cinéma ». Ce lundi 18 novembre, ils ont pu visionner « L’homme qui tua Liberty Valance ». Un bon moyen d’aborder certains sujets tels que la place de la presse au début du 20^ème siècle, celle de la femme dans la société, l’industrialisation liée à l’arrivée du chemin de fer, ou encore du processus de civilisation voyant un état passer de la force au droit.

Nos trois classes de 1ère bac. pro. se sont rendues au cinéma Le Rio dans le cadre du dispositif « lycéens au cinéma », dont un des objectifs est de former des spectateurs curieux et critiques, en faisant découvrir aux élèves des œuvres marquantes (trois dans l’année), et en leur donnant la capacité de cerner les enjeux d’un film. Pour cette première séance, ils ont pu visionner « La nuit du 12 », qui relate le quotidien d’une équipe de la police judiciaire de Grenoble enquêtant sur le meurtre d’une femme alors qu’elle rentrait chez elle après une fête. Ce film explore la difficulté du travail policier, la violence faite aux femmes ou la pression psychologiques sur les enquêteurs.

Mercredi 7 février, à l’exception des classes de 1ère bac. pro., tous nos élèves du lycée ont assisté à la séance scolaire du festival du court métrage de Clermont-Ferrand, la plus importante manifestation cinématographique mondiale consacrée au court métrage (un court métrage est un film dont la durée ne dépasse pas 59 minutes), permettant de faire découvrir la diversité du cinéma.

Les 7 productions proposées (allant de 3 minutes 15 pour la plus courte à 25 minutes pour la plus longue) furent appréciées de tous, comme l’an dernier d’ailleurs, et permirent d’aborder des thèmes de la vie quotidienne comme l’adolescence, la maladie, l’écologie, les violences faites aux femmes, l’impact de l’homme sur l’environnement, les difficultés du monde professionnel…

Témoignages ♥ :

– « Les thèmes étaient bien choisis et adaptés à notre âge et à l’actualité ». Lise et julia (2de ASSP)

– « Les réalisations étaient de qualité ». Léa (2de ASSP)

– « les différents films sont soit abstraits, soit très réalistes. Ces derniers permettent de beaucoup mieux nous identifier en tant que personne. Les morales sont touchantes et l’on voyage entre plusieurs esthétiques (vidéos, dessins, animations en pelotes de laine…) ». Zoé (2de ASSP)

– « Certains films étaient plus impactants que d’autres comme celui sur les violences faites aux femmes, c’était court mais on comprenait bien la morale de l’histoire ». Mathilde (2de ASSP)